Д/М/Г
Tendance incontournable de l'année, l'inspiration "Amérique du sud" a conquis la sphère déco mais aussi les nouveaux hot spots parisiens. Ici, les murs verts pâles et volontairement vieillis, le bar en bois, ainsi que le sol nous transportent tout droit vers la Colombie. Juan et Alexandre ont souhaité rendre hommage à leur grand-mère colombienne surnommée Margùs et ont ainsi fait de ce surnom chargé d'histoire, le nom de leur restaurant. Des photos vintage de celle-ci sont d’ailleurs accrochées aux murs. Résultat ? On adore !
>> Restaurant Margùs
1 Rue des Prouvaires, 75001 Paris
Д/М/Г
Juan Quillet (co-fondateur SOMA) et son frère Alexandre ambiancent le quartier des Halles avec leur dernière création : Margús. Hommage à leurs origines colombiennes et plus globalement à leur goût absolu de l’Amérique du sud, l’établissement porte le (sur)nom de leur mère et de leur grand-mère. Restaurant et bar à tapas, Margús illustre à merveille le terme cubain « paladar familiar », employé pour désigner les cantines montées et tenues par des familles.
A l’origine du projet, il y a une envie des frères Quillet, celle de se recentrer sur leurs racines. Après l’aventure SOMA, Juan imagine les prémisses de Margús et embarque Alexandre (officiant jusque là dans la finance) dans l‘aventure avec l’ambition affichée de créer un pont entre Paris et l’Amérique du sud, en particulier la Colombie. De mère colombienne et de père normand, les deux jeunes hommes sont en effet littéralement « faits » de cette double culture. Enfants puis adolescents, ils ont passé tous leurs étés en famille, en Colombie. De Paris où ils ont grandi, ils gardent le souvenir d’innombrables déjeuners dans le quartier des Halles avec leur père. Leur quartier d’implantation est ainsi tout trouvé : ce sera « le ventre de Paris ». Après de nombreuses visites, ils découvrent leur local de la rue des Prouvaires, sa vie de quartier, sa dimension populaire, ses enseignes en place depuis 50 ans. C’est le coup de coeur.
A Bogota, ils ont connu le chef Tomás Rueda (Tábula et Donostia) et les grandes tablées de ses restaurants, sa cuisine familiale, décomplexée, traditionnelle certes, mais avec un « twist ». Ils pensent immédiatement à lui pour signer leur toute première carte. Tomás arrive à Paris fin février pour une dizaine de jours de discussions et de pré-tests sous forme d’échange culturel. A la (première) carte de Margús, volontairement courte, pas de menu imposé mais un plat du jour le midi et de petites assiettes comme de grands plats à partager, au déjeuner et au dîner.
Ceviche de bar, pepino y leche de tigre – Entraña, chimichurri de champignons, câpres – Jarret de veau (3-4 personnes), selon une recette de Margús, « la » grand-mère – Chèvre, physalis – Encodado de gambas, fenouil, yuca – Taco de langue de boeuf, pico de gallo – Sablé, crème d’amande, chocolat, banane…
Côté flacons, sont proposés quelques vins français et plusieurs bouteilles sud-américaines, pour certaines nature. Dans un décor de pastels bruts évoquant la Colombie post révolution et invitant au voyage, Juan et Alexandre ont choisi de mettre en valeur des souvenirs personnels : photos familiales, lettre adressée par leur grand-père à leur grand-mère, ornent ainsi quelques uns des murs fraîchement inaugurés de Margús.
Ouvert midi et soir du lundi au vendredi. Réservation conseillée, par téléphone au +339.87.10.42.03
Margús . 1, rue des Prouvaires . Paris 1er
Д/М/Г
Chez Margús le plafond est aussi très haut et la lumière toute douce. Tables et banquette bistrot, jolis lustres boules, grand comptoir à l’ancienne, moulures et miroirs, ici c’est Paris…
L’inspiration s’arrête là puisque les tapas et les cocktails sont sud-américains tendance Colombie.
Quinoa (un vrai), ceviche (un vrai), hampe de boeuf chimichurri (gouteuse), gambas fenouil (croquantes), taco langue de boeuf (pour se la jouer perso), pommes de terre sauce pimentées (wow), fromage local (y’en avait plus…), riz au lait (trop bon).
Deux assiettes de viande à partager, jarret à l’os et côte de boeuf, délicieuses et bien servies.
Dans les verres…
Ben on ne sait plus très bien car le Malbec d’Argentine et le Chardonnay chilien on eu raison de nos bonnes résolutions et du niveau sonore de notre conversation.
Les cocktails, Pisco en tête, n’ont pas aidé…
En fond musical, c’est latino doux, le volume augmente avec l’heure (ou était-ce une impression ?) et le vendredi, ça chauffe avec concert de mariachis.
Trabajar no, samba si!
Д/М/Г
Le ventre de Paris aux accents Colombiens
Pour qui ? Ceux ne transige pas sur la qualité, dans un quartier où il est difficile de manger bien à budget raisonnable.
Plat culte ? Les tacos, fait avec soin et à la carte midi et soir.
« L’ami des Halles », comme l’indique le nom sur la façade c’est Margùs, sorti du chapeau du chef David Kjellstenius. Dans l’assiette, il tente un mélange de saveurs sud américaines (taco, ceviche, crudo de thon) avec une précision nordique des dressages. Ceviche de chinchard, yucca frit et rhubarbe qui tiennent en bouche les promesses de l’œil : un ravissement pour les papilles. Des bulots servis avec une excellente mayonnaise au piment vert qui réclament du pain que l’on ne fait pas ici. Taco de bœuf au piment vert qui explose en bouche. Les plats font de la résistance, ils peinent à surprendre, redite des saveurs de l’entrée, pourpier, oignons pickelisés, arroche. Mais les produits sont frais et minutieusement travaillés. Belle carte de vins naturels en accompagnement. Alors oui tout cela manque de surprise, mais la qualité l’emporte et Margùs c’est une belle proposition qui redonne aux Halles un blason nourricier.
Д/М/Г
Une nouvelle table qui reveille les papilles dans le 1er arrondissement de Paris.
Le ventre de Paris gargouille comme jamais ! Après les récentes ouvertures de Baltard au Louvre et du Café Lai'Tcha, le petit dernier, à l'inclinaison colombienne, est déjà sur les rails. De l'ancienne devanture parigote reste l'enseigne "Aux amis des Halles" et à l'intérieur, des murs verts pastel, des tables nappées, des chaises de bistrot côtoient un solide zinc. La reine Margus ? Maria Margarita, la grand-mère d'Alexandre et Juan Quillet (ex-Soma, Paris IIIe), les frères franco-colombiens à la tête de cette adresse.
Pour sceller cette fusion très réussie, le talentueux chef suédois David Kjellstenius (Au Passage, Carbon...) orchestre une cuisine à partager à la croisée des cultures. Avec le ceviche de daurade grise ikejime (technique nippone de mise à mort du poisson) et le taco noir de poulpe au maïs, en passant par les détonants cocktails au pisco (eau-de-vie de raisin) et au mezcal (alcool d'agave)... on retrouve tout le gotha de Bogota.
Le reste de la carte ? Des coeurs de canard et du yuka (la racine de manioc) se serrent dans une sauce au petit lait et la bavette de boeuf fondante est coiffée d'une sauce chimichuri aux champignons, aux câpres et au thym citron. Pour arroser le repas, le vin joue lui aussi les ponts entre l'ancien et le nouveau monde. Du Sylvaner alsacien de Vincent Fleith (6 € le verre) au Malbec argentin du domaine Wallard (8 €), on trinque à l'amitié franco-latina !
Margus, 1, rue des Prouvaires, Paris (Ier), 09-87-10-42-03. Carte : 40 €. Fermé dimanche et lundi.
Д/М/Г
Deux frères* aux puissantes racines familiales colombiennes viennent d’ouvrir Margus, un mini restaurant au cœur du quartier des Halles. A la carte : Viandes, plats, tacos et assaisonnements pointus qui évoquent l’Amérique du Sud sans jamais la caricaturer.
La Hampe de boeuf charolais, de qualité, se déguste avec bonheur. La saveur délicate et la texture un peu huileuse de l’accompagnement, câpre & chimichuri de champignons, appelle le pain frais. Les pommes grenailles sont fermes et semblent tout juste sorties d’un bouillon mijoté. Le Quinoa aux agrumes, servi frais, se rapproche du taboulé et offre une fraicheur acidulé très réussie. Certains pourraient remarquer que les portions des petites assiettes ne sont pas gargantuesques, oui tout est normal : il est écrit sur la carte « petites assiettes ». Les plats à partager ou ceux à dévorer seul(e) sont plus copieux.
Il parait que le vendredi soir est jour de fête. Des musiciens jouent, l’espace se réduit et la chaleur se diffuse.
* De mère colombienne et de père normand, Juan et Alexandre ont une double culture. Ils ont en mémoire, les étés en famille en Colombie, tout autant que les nombreux déjeuners dans les Halles avec leur père. Après une première aventure, dans le Marais à Paris, avec l’ouverture du restaurant Soma, les deux frères ont eu envie d’un quartier encore authentique, moins flouté par de trop nombreux magasins de mode. Face à leur terrasse, à droite et à gauche du restaurant se dressent fièrement les derniers témoins d’une époque ou l’on buvait et mangeait tôt le matin : chez Denise, la Boucherie au Billot des Halles.
Le restaurant Margùs porte le surnom de leur mère et de leur grand-mère.
Restaurant et bar à tapas, ouvert en mars 2018, Margús illustre à merveille le terme cubain « paladar familiar », employé pour désigner les cantines montées et tenues par des familles.
Д/М/Г
Entrer chez Margus, c’est entrer chez la grand-mère des deux fondateurs de cette nouvelle table.
Ce nouveau bistrot vintage, ouvert le mois dernier marque par sa décoration et ses tapas à la mode colombienne.
Même si leur père est normand, Alexandre et Juan Quillet ont bien du sang colombien dans les veines. Leur mère est bien colombienne 100%. Et c’est Margus la mère de celle-ci qui est à l’honneur, à travers le nom de l’établissement mais aussi de la déco. Une décoration épurée, aux murs joliment teintés de douces couleurs pastel, des lettres, des photos de famille … un peu comme si le temps s’était arrêté sur le pas de la porte.
C’est dans une atmosphère hors du commun que l’on y goûte la cuisine du chef colombien lui-même. Tomas Rueda y propose une cuisine familiale, à l’image de celle que pratiquait Margus.
Ceviche de bar, pepino y leche de tigre, taco de langue de bœuf, gambas au lait de coco et yuca, quinoa aux agrumes … l’exotisme est bien là et se sert en plat du jour ou en grandes assiettes à partager.
Chaque semaine, la carte propose également 3 nouveaux cocktails, assurant ainsi un parfait dépaysement.
Д/М/Г
Envie de vous évader en Amérique Latine le temps d'un déjeuner, apéro et/ou dîner ? Direction restaurant/bar à tapas familial Margús. Les plats à partager et cocktails de saison devraient vous plaire !
Partager
Tweeter
Pin it
Partager
C'est dans le quartier des Halles à Paris, le "ventre de Paris" comme on l'appelait dans le temps, que Juan Quillet (co-fondateur de Soma) et son frère Alexandre ont ouvert Margús. Pourquoi un tel nom ? Il s'agit du surnom de leur mère et de leur grand-mère colombienne et ça semble tout de suite évident quand on voit à quoi ressemble l'établissement. Ce dernier est, en effet, un restaurant/bar à tapas familial (on trouve notamment aux murs des souvenirs des patrons : photos familiales, lettre de leur grand-père...).
Une cantine hommage à ce qui se fait de mieux en Colombie, et plus généralement en Amérique Latine. D'ailleurs, le Chef Tomas Rueda vient de Bogota. Cet as des fourneaux confectionne ici une cuisine traditionnelle "twistée" : ceviche de bar/concombre/leche de tigre, hampe de boeuf Charolais/chimichuri de champignons/câpres, du quinoa aux agrumes, sauté de gambas/lait de coco/fenouil/yuca, jarret de veau sur l'os pour 3 ou 4 "hombres".
Pour accompagner ces tapas ou gros plats à partager, l'équipe de chez Margús ne se contente pas de vous servir du vin sud-américain, elle vous propose également trois cocktails renouvelés chaque semaine et qu'on croirait presque pensés dans un souci de food pairing. En ce moment, par exemple, vous aurez le choix entre le "Maracuya Sour" (pisco, fruit de la passion et lime), le "Mula Habanera" (rhum blanc, ginger beer et citron) et le "Juan & Gin Gin" (gin, piment route et romarin). Un vrai voyage sur l'autre continent !
Margús
1 rue des Prouvaires, 75001 Paris
Ouvert du lundi au vendredi, midi et soir
Réservation conseillée
Le site internet de Margús
La page Facebook de Margús
Le compte Instagram de Margús
Д/М/Г
C'EST NOUVEAU - Deux frangins réveillent sans le dénaturer un vétéran des Halles et s'empressent de le basculer du côté latino en dégoupillant tapas et pièces de viande puisés au «grand matrimoine» de leurs origines colombiennes. Quelques sérieux flacons des deux continents scellent un peu plus le jumelage.
Prix: entre 30 et 50€ selon les dispositions de l'estomac et le dispendieux du portefeuille. Papas choreadas amazonicas: bonne bouille de patatas bravas à la colombienne. Encocado de gambas, fenouil, yuca: vif. Côte de bœuf à partager: bon mix de mâche et de fondant.
Avec qui? Une Shakira des Halles.
Bonne table: L'As.
Service: de fougue sentimentale.
Margus. 1, rue des Prouvaires (Ier). Tél.: 09 87 10 42 03. Tlj sf sam. et dim. Métro: Les Halles.